Historique

Le Tennis Club Charles Grimaud de Montmagny (dénommé TCCG), fondé en 1957 était à l’époque rattaché à la Fédération Française de Lawn Tennis (devenue depuis la Fédération Française de Tennis (F.F.T.).

Doté d’un club house en dur en 1995, le club ne cesse de s’agrandir. Cette association était composée de 450 adhérents en 2008 pour une commune de 13090 habitants. Ses adhérents sont des enfants qui résident et sont scolarisés sur Montmagny ou dans les villes limitrophes (245 enfants), des jeunes lycéens ou encore des étudiants, des adultes dont le plus ancien a fêté en 2009, ses 40 ans de fidélité comme adhérent au club !

Le TCCG est un club régi par la loi de 1901 sous le n° 3617/Pontoise le 01/02/1957. Il est agréé par le Ministère de la Santé de la Jeunesse et des Sports sous le n°9586S.8.

Affilié à la F.F.T. sous le n° 57 95 0048. Une convention de mise à disposition des courts de tennis appartenant à la Ville de Montmagny est signée le 20 mars 1995. Le club dispose d’une infrastructure composée de 4 terrains extérieurs dont deux avec éclairage et 3 terrains couverts tous éclairés.

Palmarès :

Nos équipes de tennis sont composées de joueurs et de joueuses motivés. Grâce à eux, le TCCG a déjà atteint en 2000 le niveau PRE-NATIONALE pour l’équipe féminine pour la saison 1999/2000 et en 2004/2005 le niveau NATIONALE 3 pour les hommes.

Depuis notre club est en plein essor. Il accueille des jeunes joueurs et joueuses âgés dès l’âge de 6 ans. Le parcours des filles exemplaire sur la saison 2008/2009 a été récompensé aux médailles de la ville.

Une équipe jeune 15/16 masculine était présente aux qualifications du championnat de France en novembre 2009. L’équipe des + de 35 ans hommes fut championne 2010 du Val d’Oise championnat 3è série.

Objectifs et motivations :

Les objectifs de notre association sont avant tout de réunir des personnes qui ont une passion commune : le tennis.

Nous voulons que tous nos entraînements, tournois et autres manifestations sportives se déroulent dans le respect et la bonne humeur, pouvoir chaque année engager des joueurs et des équipes auprès des compétitions de la Fédération Française de Tennis afin qu’ils puissent progresser et évoluer dans ce sport.

Toutes ces personnes sont motivées pour aider à la survie de notre association, pour faire découvrir ce sport exigeant à un plus large public, impulser une bonne dynamique. Nous voulons aussi tout mettre en œuvre pour que nos équipes évoluent au plus haut niveau possible du championnat sans avoir recours à l’achat de joueurs.

Notre classement en juillet 2008 nous situait au 13ème rang sur 120 clubs du département.

 


 

HISTORIQUE MONTMAGNY

Montmagny en bref :

A une dizaine de kilomètres au nord de Paris, Montmagny est une ville bordée d’espaces verts, qui offre aux Magnymontois et aux visiteurs des lieux de détente.
Montmagny appartient à la communauté d’agglomération de la vallée de Montmorency (CAVAM) qui regroupe depuis le 1er janvier 2002 huit communes.

Histoire de Montmagny :

La ville de Montmagny, anciennement « Mommaignie », est issue des terres de la Seigneurie des Huault, qui remonte au XVIe siècle. Les membres les plus illustres de cette famille aristocratique comptent notamment son fondateur, Jacques Huault, conseiller et secrétaire de Henri II (1519-1559), et Charles Huault de Montmagny (1583-1654), qui fut le deuxième gouverneur de la Nouvelle-France, aujourd’hui le Québec, où il fonda une autre ville du nom de Montmagny.

La ville passe par alliance sous le giron des Malebranche au XVIIIe siècle, famille du célèbre philosophe de l’Oratoire (1638-1715). Les « Vandales » de la Révolution française y ont détruit le château édifié par le gouverneur de la Nouvelle-France.

Il reste dans la ville une église reconstruite au XVIIIe siècle à partir d’un édifice bâti au XIIe siècle, une église d’architecture moderne datant de la Belle Epoque et le fortin construit sur la butte Pinson.

L’artiste peintre Maurice Utrillo (1883-1955) y a vécu et travaillé entre 1900 et 1914, où il connut ses deux premières périodes, réaliste et sombre jusqu’en 1907, et la période dite « blanche » sous l’influence de Pissarro (1830-1903) et de Sisley (1839-1899) jusqu’en 1916. Il a notamment peint 6 peintures de l’église Saint-Thomas.

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